20.8.14
tout va bien
Tout va bien: pas de relations sexuelles. Pas de relations tout court. Alors, il ne se passe rien. Merci mon Dieu.
Je suis
- CANDIDE!
- "Je dédie ce site à toutes les femmes, qui, comme moi, souffrent de vulvodynie, ou, si vous préférez, de problématiques vulvo-vaginales. Cauchemar des médecins généralistes et des gynécologues qui n'y comprennent rien, la douleur et l'accablement occasionnés par cet état m'amènent à mettre des mots sur cette souffrance plutôt que de devenir dingue. Il est impératif, malgré qu'on puisse me reprocher mon impudeur, que je sorte de l'impuissance. J'ai besoin de mots, j'ai besoin des autres."
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Articles
Wallace Ting
2 commentaires:
Bonsoir,
j'écris ici à 3h13 du matin, depuis la france. J'écume internet. J'ai 20 ans et j'ai mal depuis toujours au sexe. Mon copain ne comprend pas. Je ne suis plus prête à sacrifier mon corps pour lui comme je l'ai fait pendant 2 ans.
Les médecins ne me proposent aucune alternative. Je vis dans la peur, dans la douleur d'être assise rien qu'un instant.
Mon bas ventre n'est qu'un brasier ardent plus ou moins fort, mais toujours là, à me réveiller la nuit, à m'empêcher de dormir.
Un message pour vous dire que je vous lis.
Pardonnez mon anonymat, mais j'ai trop honte pour signer.
Merci pour vos mémoires...
Bonjour,
désolée de devoir laisser un commentaire, mais comme vous devez l'approuver auparavant, je crois que c'est la meilleure façon de vous joindre.
Je suis journaliste pour La Pige au Saguenay-Lac-Saint-Jean. Je réalise présentement une enquête sur les maladies vulvo-vaginales et je m'intéresse aux conditions de vie des femmes qui en souffrent.
Je suis consciente que vous préférez sûrement garder l'anonymat, et vous pouvez être certaine qu'il sera conservé dans l'article. Moi-même je n'ai pas besoin d'être au courant de votre identité réelle, seulement de votre travail, de votre ville de résidence, de votre statut familial, bref quelque chose d'assez bref mais complet pour avoir une idée de ce que représente votre témoignage.
Je crois qu'une entrevue par téléphone serait sûrement le meilleur moyen de prendre contact. J'aimerais aussi avoir votre avis sur la façon que le système de santé gère ce type de problème.
Mon objectif est de comprendre pourquoi cette problématique est si taboue, alors qu'il semble y avoir beaucoup de femmes aux prises avec une maladie vulvo-vaginale. Je pense qu'à long terme, votre collaboration à l'article pourrait aider à rendre le problème moins tabou, justement.
Je vous remercie pour votre collaboration, peu importe votre décision.
Dominique Gobeil
dominique.gobeil@cjonquiere.qc.ca
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