Il est presque minuit, ce vendredi, et j'ai traversé la journée sans trop de mal. Le soir, douleur au sexe lancinante. C'est comme si je bouillais de l'intérieur. Mais comme je suis sous traitement, je ne panique pas, je me dis que c'est peut-être normal.
J'ai travaillé sur ce blogue une couple d'heures aujourd'hui, je veux le faire beau, le rendre attrayant, convivial et surtout accessible sur le net, ce qui semble bien compliqué. Rejoindre les femmes qui sont aux prises aussi avec des douleurs chroniques comme les miennes, pour que nous hurlions en coeur sur les dérives de notre féminitude. Finitude peut-être.
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